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Recherche de financements


Si on n’investit pas à long terme, il n’y a pas de court terme.

Nous sommes très sensibles au bon financement des entreprises.
Trop souvent, une entreprise est mise en péril par manque de financement et par un financement mal adapté aux besoins de son activité.

Nous vous accompagnons dans le choix du financement de votre entreprise et étudions les meilleures possibilités, qui s'offrent à vous en fonction :
  • de la situation du moment
  • des conséquences pour l'enteprise et son ou ses dirigeants



1. Le financement par les associés ou actionnaires


Le financement provenant des associés ou actionnaires de l'entreprise prend la forme d'apports en capital ou d'apports en compte courant. Nous verrons également qu'il existe des entités spécialisés dans l'investissement au capital d'entreprises prometteuses, c'est ce que l'on appelle le capital risque.

A. Les apports en capital

Lorsqu'une personne effectue un apport en capital, il recevra en contrepartie des titres représentatifs du capital de la société concernée.
Les apports en capital peuvent prendre trois formes différentes :
  • Les apports en numéraire, c'est-à-dire les apports qui sont constitués par de l'argent ;
  • Les apports en nature, qui consistent à transférer des biens à l'entreprise et donc d'éviter de devoir les acquérir ;
  • Les apports en industrie, que nous ne prendrons pas en compte ici car ils ne permettent pas de financer le projet

Les apports en numéraire peuvent être obligatoire, compte tenu de la forme juridique de l'entreprise, c'est le cas lors de la création d'une société anonyme (SA) par exemple.

B. Les apports en compte courant

Contrairement aux apports en capital, l'apport en compte courant ne permet pas d'obtenir des titres de la société. Toutefois, il faut être associé ou actionnaire de l'entreprise pour pouvoir effectuer un apport en compte courant.
La seule contrepartie dont pourra bénéficier le détenteur du compte courant est financière : Il s'agira d'intérêts calculés sur le capital mis à  disposition de l'entreprise.
Dans certains cas, et notamment pour garantir d'autres financements, le compte courant pourra être bloqué pendant une durée limitée (généralement 5 ans).


C. Le capital risque

Le capital risque consiste, pour une personne ou une entité, à prendre une participation dans une nouvelle société, ou récemment créée, présentant un bon potentiel de développement, dans le but de réaliser une plus-value sur la revente ultérieure des titres.
Il n'est pas rare, qu'en plus d'apporter des capitaux, ce financement permet à l'entreprise de bénéficier de nombreux conseils de la part de cette catégorie d'investisseurs habitués au monde des affaires.

2. Le financement par les partenaires externes


Plus l'entreprise investit ou plus son cycle d'exploitation nécessiste de la trésorerie, plus elle doit se tourner vers des financements adaptés, que seuls des partenaires financiers pourront lui apporter et maintenir le temps nécessaire.

A. Les emprunts bancaires

L'emprunt bancaire est la source de financement externe qui est la plus utilisée par les entrepreneurs, et servira généralement à financer les immobilisations de l'entreprise.
L'entrepreneur devra effectuer une demande de financement auprès de la banque, matérialisée par un business plan et des entretiens.
Toutefois, le banquier n'accordera le prêt bancaire que si l'apport personnel de l'entrepreneur est jugé suffisant, et également s'il peut apporter des garanties à la banque.

B. Les aides à la création

L'entrepreneur peut également solliciter des dispositifs d'aide financière dans le cadre de son projet de création d'entreprise.

En matière de financement d'entreprise, on trouvera :
  • Les aides financières à la création, avec la demande de versement des allocations chômage sous forme de capital (possible pour les bénéficiaires de l'ACCRE ;
  • Le prêt à la création d'entreprise ;
  • Le prêt d'honneur.

C. La location et le crédit-bail

Enfin, l'entrepreneur pourra également financer ses immobilisations en utilisant la location. Ce mode de financement permet notamment de ne pas supporter le coût de l'acquisition du bien concerné dès la création de l'entreprise, mais de payer des loyers étalés dans le temps.

Il convient de distinguer :
  • La location, qui consiste à disposer un bien dont l'entreprise n'est pas propriétaire, moyennant un loyer ;
  • Le crédit-bail, qui est une location assortie d'une option d'achat fixe.

Ces modes de financement ont un coût qui est supérieur à celui d'un emprunt bancaire.

D. Les crédits bancaires à court terme

Les crédits bancaires à court terme concernent essentiellement : Les crédits de trésorerie et les solutions permettant de mobiliser de créances clients.

1. Les crédits de trésorerie

Les crédits de trésorerie permettent d'obtenir à court terme des ressources de trésorerie pour que l'entreprise puisse couvrir ses charges d'exploitation.

Constituent des crédits de trésorerie :
  • Les découverts bancaires, correspondant à la possibilité pour une entreprise d'avoir un compte courant à la banque débiteur. Généralement, l'entreprise bénéficie d'un découvert autorisé sur son compte, qui lui permet d'être en négatif jusqu'à un certain plafond et pendant une durée limitée.
  • Les avances de trésorerie ou facilités de caisse, qui permettent à l'entreprise de bénéficier d'une avance de trésorerie sur une durée assez courte.

2. La mobilisation de créances clients

La solution de mobilisation des créances clients la plus connue est l'affacturage, mais il existe aussi l'escompte commercial et le financement dailly.

  • L'affacturage est l'opération par laquelle un établissement spécialisé (le factor) prend en charge tout ou partie du recouvrement des comptes clients d'une entreprise contre rémunération. Le factor effectue une avance de trésorerie à l'entreprise et se charge de recouvrer les créances clients. Le factor devra également supporter le risque de non- recouvrement des créances clients. En contrepartie, l'entreprise verse des commissions au factor.
  • L'escompte commercial permet à une entreprise de céder à sa banque des effets de commerce, et d'obtenir immédiatement la trésorerie relative à ses effets sans attendre la survenance des dates d'échéance. L'escompte commercial ne peut donc qu'être utilisé avec les clients qui règlent par effets de commerce, et la banque se réserve le droit de refuse l'escompte de certains clients qui sont jugés trop risqués.
  • Le financement dailly est semblable à l'escompte commercial sauf qu'il permet de céder à la banque tout les moyens de règlement existants, dès lors que les factures correspondantes sont émises. Contrairement à l'escompte commercial, il est possible d'utiliser le financement dailly pour l'intégralité des comptes clients.

Sur ces 3 solutions, l'affacturage est la solution la plus coûteuse, car elle inclut également la prise en charge du risque d'impayé, contrairement à l'escompte commercial et au financement dailly.



Cas particulier du Crowdfunding :

Le financement participatif peut prendre trois formes selon le cas :
  • le don avec ou sans contrepartie de faible valeur (crowdsponsoring ou crowdgiving). La contrepartie peut être une entrée dans un musée ou des produits ou services de l'entreprise financée ;
  • le prêt (crowdlending) ;
  • la souscription au capital de sociétés (crowdinvesting). C'est le crowdfunding stricto sensu. Il donne accès aux titres de capital ou de créances émis par la société porteuse de projet. Il s'agit d'actions ordinaires ou d'obligations à taux fixe.


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